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Everyone who pretended to like me is gone
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Producteur
: Non disponible |
Distribution
: Talitres records |
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Chronique
i-muzzik.net ( Harry
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Si les Jonathan eater fire étaient arrivés deux ans plus tard, ils auraient vendu dix fois plus de disque même avec un album dix fois moins bon. Sous le nom de The walkmen ils risquent de connaître la même expérience et les mêmes désillusions. En pleine période punk-rock et rock’n’roll aux influences new-wave et post-punk (WIRE, ESG. Gang of four, Echo & the bunnymen..), The Walkmen s’inspire de la face pop mélancolique et réaliste des eighties pour pervertir son écriture flamboyante par des sentiments destructeurs. Déjà, avec la photographie qui sert de pochette à « Everyone who pretended to like me is gone », une photographie sombre et romantique, belle et démodée à la fois, The walkmen marque son territoire, le nouveau champ d’action des ex. Jonathan eater fire. Un territoire où ils peuvent encore faire preuve d’une domination flagrante tant leur écriture approche souvent la perfection. « Everyone who pretended to like me is gone » est un excellent disque de pop-rock aérien qui déstabilise l ‘auditeur avec classe. |
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Extrait de l'album |
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